Un texte sur la mort de Al-Zawahiri et l’exécution extra-judiciaire, par Pierre Thys
Une réflexion sur l’élimination d’Al-Zawahiri
Plus...Centre d’Etude sur le Terrorisme et la Radicalisation
Présentation du CETR
Le CETR a pour objet principal l’étude du terrorisme et du radicalisme, à la fois dans l’appréhension singulière de ces problématiques et dans les nombreuses interrelations qu’elles entretiennent.
LE CETR a également pour mission de fournir des analyses et des conseils relatifs aux différents types de réaction mis en place ou projetés afin de tenter de prévenir/contrer/réguler ces phénomènes et comportements.
Le CETR entend contribuer à la formation, en lien avec ses objets d’études. Cet axe d’activité concerne à la fois le cadre universitaire (et plus largement celui de l’enseignement) et les contextes de formation, professionnelle ou, plus largement, « citoyenne ».
L’approche développée par le CETR est, par essence, interdisciplinaire et intégrative. Si le centre s’appuie sur un corpus théorique de base qui est de nature criminologique, le CETR se veut aussi un croisement des approches, des expertises et des compétences. Ceci explique pourquoi le CETR est une structure en quête constante de partenariats, d’abord au sein de la Faculté de Droit de l’Université de Liège et de son Unité de Recherche Cité, mais aussi et au-delà, sur les plans intra-universitaire (ULG), interuniversitaire et international.
Liste non-exhaustive des champs d’expertise du CETR :
• Processus de radicalisation
• Analyse et évaluation des processus de « dé-radicalisation » et autres prises en charges des personnes dites « radicalisées »
• Foreign-Fighters et djhadisme
• Politique criminelle en lien avec le terrorisme
• Propagande, contre-propagande
• Tueries de masse
• Criminalité de guerre
• Victimation et terrorisme
• Prise en charge des victimes de terrorisme
• Gestion des risques et clignotants
• Radicalisation et travail social
• Géopolitique et terrorisme
• Terrorisme et aspects militaires
• Police et terrorisme
• Renseignement
• Contre-terrorisme
• Analyse d’opinions, perception des problématiques en liens avec différentes populations
• Questions éthiques, secret professionnel, partage d’information et pratiques de réseaux
• Politiques carcérales et gestion des personnes radicalisées ou terroristes incarcérées
• …
Michaël DANTINNE est Professeur de criminologie à l’Université de Liège où il enseigne un vaste panel de matières allant des théories criminologiques à la pénologie en passant par la criminalité économique et financière et la criminalité organisée.
Serge GARCET est Professeur chargé de cours à l’Université de Liège et expert près les Tribunaux. Ses enseignements et ses recherches portent sur les questions de victimologie, de psychotraumatisme et de psychocriminologie.
Vincent SERON est Chargé de cours adjoint à l’Université de Liège où il enseigne dans le champ de l’exécution des peines et de la police. Il est notamment le responsable académique du certificat universitaire Criminologie et Police.
Pierre THYS est aujourd’hui Professeur honoraire ; il s’est consacré à l’étude psycho-criminologique des violences extrêmes que sont les crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Il a également enseigné la méthodologie de la relation avec les délinquants.
Alain Grignard est islamologue, maître de conférences à l’ULG et travaille depuis une trentaine d’années dans le domaine de l’islamisme radical et du terrorisme au sein de la police judiciaire fédérale. Il dispense plusieurs cours liés à l’islam politique au profit du département des sciences politiques de l’ULG.
André DUMOULIN est Chargé de recherche à l’Institut royal supérieur de défense (IRSD) et professeur chargé de cours en science politique à l’Université de Liège où il enseigne les matières autour des enjeux de sécurité et de défense ainsi que la politique européenne de sécurité et de défense de l’UE.
David Stans est Maître de conférences à l’Université de Liège. Son enseignement porte sur les matières liées aux services de renseignement, à leur gouvernance et, principalement, au type de contrôle opéré sur ces derniers.
Un texte sur la mort de Al-Zawahiri et l’exécution extra-judiciaire, par Pierre Thys
Une réflexion sur l’élimination d’Al-Zawahiri
Plus...Voici un article signé Pierre Thys, en lien avec le concept de « guerre totale ».
Un texte qui renvoie à une réalité ancienne… mais d’une actualité certaine!
Plus...Le Centre d’Étude sur le Terrorisme et la Radicalisation (CETR) de l’Université de Liège a le plaisir de vous annoncer l’accueil d’une chercheuse associée, en la personne de Mme Alisson Fontaine.
Son projet de recherche est intitulé: » Le terrorisme d’extrême droite, ses réalités, et la déstabilisation des structures institutionnelles, entre 1980 en 2020″.
Consacrée, comme son intitulé l’indique, au terrorisme d’extrême droite, la recherche de Mme Fontaine comportera deux plans principaux d’analyse.
Le premier de ceux-ci sera principalement temporel, longitudinal. Il a pour objectif d’étudier l’évolution du terrorisme d’extrême droite des années 1980 jusqu’aujourd’hui (2020), afin d’en faire émerger d’éventuelles tendances saillantes et caractéristiques. « Qu’est-ce qui a changé – ou n’a pas changé – depuis les « années de plomb » ? » Voici une interrogation qui résume assez fidèlement cette partie de la recherche à mener. Les changements éventuels qui seront étudiés doivent être entendus de manière large, qu’il s’agisse de modifications en termes de méthodes, de cibles, d’auteurs, d’impacts causés par des facteurs comme – à titre d’exemple – l’essor des nouvelles technologies, les modes de fonctionnement des services de police/renseignement/justice, etc.
Le deuxième plan d’analyse sera consacré aux objectifs, aux effets recherchés par le terrorisme d’extrême droite, afin de déterminer si, sur cet aspect aussi, un changement est intervenu sur l’intervalle temporel étudié (1980 – 2020). Plus précisément, l’hypothèse testée est celle d’un « shift » ou d’un « statu quo » d’ambition : qu’en était-il (et qu’en est-il), d’une volonté de déstabilisation des structures institutionnelles et étatiques visée par ces actes de violence (et par ceux qui les ont perpétrés, inspirés et/ou commandités), comme on a notamment pu la mettre en évidence dans une autre période historique et un autre pays, entre 1965 et 1975 (en Italie notamment), avec une vague de violences sans précédent et des conséquences majeures sur le fonctionnement de l’état? Cet objectif de déstabilisation de l’état, par la violence, mais aussi par l’usage d’une désinformation/réinformation rendue plus aisée par les facilités de produire aujourd’hui des contenus largement diffusables, est sans conteste une dimension de l’étude qui constitue une de ses fortes plus-value.
Le projet sera encadré par Michaël Dantinne
Bienvenue à Alisson Fontaine et plein succès !
Plus...(en construction)
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Faculté de Droit, sciences politiques et criminologie
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